Des cris d'agonie
Bonnie commence sa journée à égalité, étalée dans une chaise avec sa tête dans notre boîte à tête de privation de deux façons. Nous voyons chaque émotion que cette pute traversera, alors qu'elle n'est faite que pour voir sa propre réflexion. Elle est ignorante de ce qui vient après, et ne peut qu'espérer que la punition est rapide. Elle est alors inversée et suspendue, de sorte qu'elle est allongée entre le plancher et le plafond. La douleur recommence et les cris suivent, remplissant la pièce de bruits d'agonie. Elle est autorisée à l'orgasme, mais seulement après qu'elle plaide. Cette salope est mince, mais la souffrance continue alors qu'elle est pliée et hissée juste assez haut que ses orteils sont tout ce qui touche le sol. Chaque partie de son corps a été rougi de l'impact et sa chatte gonflée de sur stimulation. Enfin, elle est exposée et laissée exposée dans un aigle étendu debout. Une fermeture éclair est appliquée avec plus de cinquante pattes, qui court de ses coudes à son entrejambe. Lent ou rapide est la question. Combien de fois ça fera mal si ça se fait d'une façon ou d'une autre ?
